Oups...On parle même de Bernier à la BBC.
http://news.bbc.co.uk/2/hi/americas/7420841.stm
mercredi 28 mai 2008
lundi 26 mai 2008
KEW, KEW, KEW, kew, kew, kew, kew
On a profité de ce loooooooong weekend de bank holiday pour aller à Kew Garden, le jardin de la Reine. En fait, c'est pas SON jardin, tout s'appelle 'de la Reine' ou 'Royal' ici, même la poste. Ça veut juste dire que c'est public en fait. Donc, c'est le jardin botanique de Londres.
On a vraiment aimé notre journée!
On est allés samedi parce que c'était la 1er journée d'une nouvelle exposition qui nous permet de monter sur des structures en acier, pour voir à partir de la cime des arbres. Le choix de l'acier oxydé est vraiment bien car les structures se fondent dans le décor, à travers les arbres.
On voit aussi que Julie était vraiment sceptique...l'air de dire, tu vas me faire monter là-dedans toi?...
Et ça se voit dans sa face qu'elle est vraiment contente d'être là.Il y a aussi une serre qui date de l'époque victorienne. C'est assez impressionnant pour l'époque. On y retrouve des arbres de tous les continents.
Vous trouvez pas qu'il a un ptit quelque chose d'Adam?
Mais ce qui a fait la journée de Fred, c'est un dispositif spécial qui nous permettait d'écouter un arbre ?!! (geek). En fait, c'est l'eau qui circule dans l'arbre qu'on entendait.
Ça nous a permis de décrocher, ce qui nous a fait du bien.
jeudi 22 mai 2008
Wouhou, Manchester United rocks!
Encore une fois, les Britanniques ont gagné la coupe Européenne de la ligue des champions. On était sûrs que c'était l'Angleterre qui l'aurait puisqu'ils affrontaient Chelsea.
En fait, on était tellement neutres. On avait un ptit penchant pour l'underdog, Chelsea, mais sans plus.
Comme a dit Nick, l'étudiant et ami de Fred avec le même genre d'humour (genre il a une photo des fesses de Fred sur facebook): il y avait "lots of fully grown men crying"
Ça devait être beau dans les pubs hier...
En fait, on était tellement neutres. On avait un ptit penchant pour l'underdog, Chelsea, mais sans plus.
Comme a dit Nick, l'étudiant et ami de Fred avec le même genre d'humour (genre il a une photo des fesses de Fred sur facebook): il y avait "lots of fully grown men crying"
Ça devait être beau dans les pubs hier...
lundi 19 mai 2008
Les Brits aussi sont des crosseurs
Excusez notre vulgarité, mais voici une petite nouvelle qui nous a fait sourire.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080519/CPINSOLITE/80519044/-1/CPINSOLITE
Ça nous fait penser: on trouve ça vraiment bizarre de ne jamais entendre parler du Pays de Galles ou Wales (à part via Diana) au Québec. Pourtant, ici, on en entend parler en maudit.
D'abord, ils ont un accent particulier et ont leur propre langue, le Welsh ou Gallois. Il y a plein d'insides dans les émissions Brit à propos du Wales, un peu comme le Saguenay chez nous finalement. Mais, malgré tout le fla fla à propos de leur identité (hum...ça nous rappelle une autre nation), comme il l'ont dit dans Gavin & Stacey (notre émission culte, cliquez et regardez les vidéos, ça vaut la peine), personne ne parle le Welsh dans le Wales.
On dit un peu ça à travers notre chapeau parce qu'on n'est jamais allés, mais c'est dans nos plans!
http://www.cyberpresse.ca/article/20080519/CPINSOLITE/80519044/-1/CPINSOLITE
Ça nous fait penser: on trouve ça vraiment bizarre de ne jamais entendre parler du Pays de Galles ou Wales (à part via Diana) au Québec. Pourtant, ici, on en entend parler en maudit.
D'abord, ils ont un accent particulier et ont leur propre langue, le Welsh ou Gallois. Il y a plein d'insides dans les émissions Brit à propos du Wales, un peu comme le Saguenay chez nous finalement. Mais, malgré tout le fla fla à propos de leur identité (hum...ça nous rappelle une autre nation), comme il l'ont dit dans Gavin & Stacey (notre émission culte, cliquez et regardez les vidéos, ça vaut la peine), personne ne parle le Welsh dans le Wales.
On dit un peu ça à travers notre chapeau parce qu'on n'est jamais allés, mais c'est dans nos plans!
jeudi 15 mai 2008
An English...2 weeks
Marie et Simon sont partis... en même temps que la chaleur et le soleil. Hmm, nous qui pensions pouvoir continuer à nous péter les bretelles avec notre température de rêve.
Leur séjour a été entouré d'événements importants pour la Grande-Bretagne comme l'arrivée au pouvoir de Boris (facho pour les intimes) Johnson et la visite de la reine en Turquie.
Ils ont également appris qu'en Angleterre, on peut adopter un chien et même un âne par le biais d'infopubs style vision mondiale pour les animaux.
Ils ont aussi été à même de constater que le fish n'chip est tellement populaire au pub qu'il faut le réserver d'avance et que 'chip', dans le fond... ça veut dire frite.
Ils ont aussi pu observer que les sécheuses, ça n'existe pas vraiment ici, alors il faut prévoir son lavage 3 jours d'avance.
Vraiment, ils ont été à même de profiter des joies de la vie à l'Anglaise.
Leur séjour a été entouré d'événements importants pour la Grande-Bretagne comme l'arrivée au pouvoir de Boris (facho pour les intimes) Johnson et la visite de la reine en Turquie.
Ils ont également appris qu'en Angleterre, on peut adopter un chien et même un âne par le biais d'infopubs style vision mondiale pour les animaux.
Ils ont aussi été à même de constater que le fish n'chip est tellement populaire au pub qu'il faut le réserver d'avance et que 'chip', dans le fond... ça veut dire frite.
Ils ont aussi pu observer que les sécheuses, ça n'existe pas vraiment ici, alors il faut prévoir son lavage 3 jours d'avance.
Vraiment, ils ont été à même de profiter des joies de la vie à l'Anglaise.
dimanche 11 mai 2008
4 jours à Paris : sous le ciel de l'été
Bon, je suis actuellement (Simon) seul à l'appart, un peu malade peut-être dû aux changements d'humide à sec et vice-versa, pendant que Marie, Fred et Julie sont partis faire une épicerie. J'ai donc la responsabilité de vous raconter ces quatre jours parisiens.
Quelques mots avant sur nos deux autres jours à Londres. Nous avons pu voir la British Film Institute, un peu comme notre cinémathèque. C'est un peu une déception, car les films à l'affiche sont pour la plupart étrangers, mais quand même, leur 'bookstore' contient quelques théoriciens du cinéma que j'apprécie particulièrement. Elle est située littéralement sous un pont, aux bords de la Thames River.
Sinon, on a fait quelques recherches sur Micheline Beauchemin pour Marie, mais rien n'est fructueux pour l'instant. On voulait savoir si le Town Hall de Bourrough Kensington et Chelsea avait toujours une oeuvre textile qui avait été achetée en 1958. Essayez d'expliquer ça aux préposés de l'hôtel de ville...
Musée de cette journée, le Victoria & Albert Museum se spécialise dans l'art décoratif. Sculptures, bribes d'architectures médiévales et robes ont été au rendez-vous. Le passage a été quand même assez rapide.
Sinon, c'est au Harrods que nous avons terminé la journée (dont la façade est en pleine reconstruction), mais Fred et Julie nous ont informé qu'on avait manqué le meilleur, la section "Food" où il y a plein de mets exotiques. On verra si on a le temps d'y retourner.
Quatre jours, c'est peu pour visiter la ville lumière, mais nous avons quand même pu faire une visite express. Trois musées, visités en ordre dé-chronologique des périodes qu'ils couvrent: Centre Georges-Pompidou (art contemporain et actuel [photo ci-haut]), Musée d'Orsay (début de l'art dit moderne, soit de quelque chose comme 1848 à 1914), puis le fameux Louvre (qui va du début des temps jusqu'à Delacroix, modeste entreprise quand même [photo ci-bas]).
Sinon, c'est évidemment la Tour Eiffel que nous avons pu voir. Il me semble que ça ne fitte pas dans le cadre que j'avais fixé selon les films français que j'ai vu où elle apparaît. On n'y est pas montés, faute de temps. Chose étrange, il y avait des militaires armés (quelque chose comme un AK-47) qui surveillaient... idem pour la Cour au milieu du Louvre.
On a aussi exploré les Catacombes, une sorte de tunnel "décoré" avec des os anonymes, "classés" par type, suivant l'idée qu'il fallait, au cours du 19ème, vider les cimetières parisiens. On a pas de photos, il faisait sombre et on n'avait pas le droit au flash (bien que, si autant de gens vont à l'encontre de la règle à chaque visite, les os ne resteront pas intacts longtemps).
En général, Paris se décrit en quelques problèmes, tous en "p": politesse, "pisse", passé, pain, pickpockets. Le dernier ne nous a pas causé de fil à retordre, juste que, personnellement, j'avais une main en permanence dans une de mes poches. Politesse, car les serveurs oublient un "Coca Light", mettent des heures à comprendre qu'on veut aussi un jus de légumes, et ne comprennent pas que quand on demande l'addition, c'est pour tout de suite, pas pour quand la table où les gens sont déjà partis sera vidée (surtout quand on est pressés par le train). Passé, car c'est un peu comme une "ville-souvenir": elle reste fière de son passé, côté architectural ça se voit (tout est pareil, resté fixe à sa période de gloire de 1900), et beaucoup de pancartes nous rappelle ce passé ("ici est mort tel individu qui libéra Paris en 1944..."). "Pisse" à cause de l'odeur désagréable très fréquente... quand ce n'est pas celle de la cigarette. Pain, présent partout dans l'alimentation, très pauvre en vitamine C dans notre cas.
Donc, quelques désagréments, on en garde un bon souvenir de cette ville-souvenir, probablement plus agréable quand on s'en rappelle que quand on vit dedans. On est quand même plus Londres que Paris (du moins jusqu'à ce qu'on oublie ses désagréments), et on se sent de retour "chez nous" de ce court voyage en train qu'a été notre passage à Paris.
Simon & Marie
Quelques mots avant sur nos deux autres jours à Londres. Nous avons pu voir la British Film Institute, un peu comme notre cinémathèque. C'est un peu une déception, car les films à l'affiche sont pour la plupart étrangers, mais quand même, leur 'bookstore' contient quelques théoriciens du cinéma que j'apprécie particulièrement. Elle est située littéralement sous un pont, aux bords de la Thames River.
Sinon, on a fait quelques recherches sur Micheline Beauchemin pour Marie, mais rien n'est fructueux pour l'instant. On voulait savoir si le Town Hall de Bourrough Kensington et Chelsea avait toujours une oeuvre textile qui avait été achetée en 1958. Essayez d'expliquer ça aux préposés de l'hôtel de ville...
Musée de cette journée, le Victoria & Albert Museum se spécialise dans l'art décoratif. Sculptures, bribes d'architectures médiévales et robes ont été au rendez-vous. Le passage a été quand même assez rapide.
Sinon, c'est au Harrods que nous avons terminé la journée (dont la façade est en pleine reconstruction), mais Fred et Julie nous ont informé qu'on avait manqué le meilleur, la section "Food" où il y a plein de mets exotiques. On verra si on a le temps d'y retourner.Paris
Quatre jours, c'est peu pour visiter la ville lumière, mais nous avons quand même pu faire une visite express. Trois musées, visités en ordre dé-chronologique des périodes qu'ils couvrent: Centre Georges-Pompidou (art contemporain et actuel [photo ci-haut]), Musée d'Orsay (début de l'art dit moderne, soit de quelque chose comme 1848 à 1914), puis le fameux Louvre (qui va du début des temps jusqu'à Delacroix, modeste entreprise quand même [photo ci-bas]).
Sinon, c'est évidemment la Tour Eiffel que nous avons pu voir. Il me semble que ça ne fitte pas dans le cadre que j'avais fixé selon les films français que j'ai vu où elle apparaît. On n'y est pas montés, faute de temps. Chose étrange, il y avait des militaires armés (quelque chose comme un AK-47) qui surveillaient... idem pour la Cour au milieu du Louvre.
On a aussi exploré les Catacombes, une sorte de tunnel "décoré" avec des os anonymes, "classés" par type, suivant l'idée qu'il fallait, au cours du 19ème, vider les cimetières parisiens. On a pas de photos, il faisait sombre et on n'avait pas le droit au flash (bien que, si autant de gens vont à l'encontre de la règle à chaque visite, les os ne resteront pas intacts longtemps).En général, Paris se décrit en quelques problèmes, tous en "p": politesse, "pisse", passé, pain, pickpockets. Le dernier ne nous a pas causé de fil à retordre, juste que, personnellement, j'avais une main en permanence dans une de mes poches. Politesse, car les serveurs oublient un "Coca Light", mettent des heures à comprendre qu'on veut aussi un jus de légumes, et ne comprennent pas que quand on demande l'addition, c'est pour tout de suite, pas pour quand la table où les gens sont déjà partis sera vidée (surtout quand on est pressés par le train). Passé, car c'est un peu comme une "ville-souvenir": elle reste fière de son passé, côté architectural ça se voit (tout est pareil, resté fixe à sa période de gloire de 1900), et beaucoup de pancartes nous rappelle ce passé ("ici est mort tel individu qui libéra Paris en 1944..."). "Pisse" à cause de l'odeur désagréable très fréquente... quand ce n'est pas celle de la cigarette. Pain, présent partout dans l'alimentation, très pauvre en vitamine C dans notre cas.
Donc, quelques désagréments, on en garde un bon souvenir de cette ville-souvenir, probablement plus agréable quand on s'en rappelle que quand on vit dedans. On est quand même plus Londres que Paris (du moins jusqu'à ce qu'on oublie ses désagréments), et on se sent de retour "chez nous" de ce court voyage en train qu'a été notre passage à Paris.Simon & Marie
jeudi 8 mai 2008
Maudit qu'y fait beau à Londres
Marie-Christine et Simon n'ont pas été chanceux avec la température à leur arrivée. Aux dires de Marie, c'est l'histoire de sa vie: il fait toujours pas beau quand elle va à quelque part. Eh bien il semble que le sort soit renversé. Depuis samedi, il fait autour de 25 et du gros soleil tous les jours. Ils ont donc eu 4 jours de plaisir.
Faudra voir si ça se maintiendra à leur retour de Paris...
Faudra voir si ça se maintiendra à leur retour de Paris...
samedi 3 mai 2008
Nouveaux arrivants, nouveaux blogueurs
C'est le matin du 30 avril à 11h35 que nous sommes atterris à l'aéroport de Gatwick, à 40 minutes en train de St. Albans. Vous comprendrez donc que nous ne sommes ni Fred, ni Julie, même si nous écrivons sur ce blogue. Nous sommes Marie et Simon (ce dernier étant le narrateur ici) et nous prendrons le temps de décrire quelques escapades londoniennes sur ce site très pratique. Nouveaux arrivants, nouveaux blogueurs.
Notre première journée a été peu mouvementée, car l'avion ne nous a pas laissé dormir plus d'une heure. Le 29 et le 30 se sont donc confondus dans nos têtes. Nous avons tout de même fait le tour de quelques rues de St. Albans et appris les rudiments du fonctionnement ici.
C'est le 1er mai que nos premières visites à Londres débutent. La cathédrale St. Paul nous charge 7.50 pounds si on veut la visiter au complet.
Notre hésitation était entre sortir tranquillement après avoir jeter un coup d'œil ou renverser toutes les tables en criant "sortez les marchands du Temple". La première option a été celle retenue. Nous avons déambuler dans les rues du quartier "City", entre le Millenium Bridge et la London Tower. L'architecture ose combiner l'ancien et l'actuel. Le résultat est une coexistence pacifique plutôt intéressante.
Un détail de l'œuf.
Le changement entre pluie et soleil est le plus difficile à acclimater.
2 mai: peu de visites de lieux "touristiques" comme tels, mais les touristes affluaient quand même. Nous sommes allés magasiner sur Oxford Street. Croyez-le ou non, j'ai eu ma première rage de magasinage. En fait, oui, la livre sterling est le double du dollar canadien. Mais, chose étonnante, j'ai pu acheter une paire de jeans à 8 pounds (16 dollars!). Pour 50 livres (100$), nous avons acheté 10 items (chandails chauds pour la plupart, surpris par la température). Aventures en métro et en autobus, on apprivoise nos transports, et on trouve les trucs pour avoir les meilleurs tarifs. C'est ce soir où, à quatre, on décide d'aller prendre un Fish 'n' Chips au Pub pas trop loin. Plus de Fish 'n' Chips restant, on prend autre chose autour d'une pinte de bière ou de cidre.
3 mai: avec Fred et Julie qui prennent une pause de leurs occupations universitaires habituelles, nous nous rendons à la Tate Modern. Musée d'art moderne de Londres, l'exposition actuelle a été un coup de chance: Duchamp, Man Ray et Picabia (le 3ème qu'on oublie tout le temps). Nous avons donc pu voir Fountain, le vrai urinoir qui a "fait changé l'art pour toujours" (traduction libre du "tagline" de l'expo). Quelques crèmes glacées plus tard, on allait observer le Tower Bridge, devant la tour de Londres comme telle (qui ressemble plus à une forteresse qu'une tour), pour prendre l'autobus jusqu'au Yo! Sushi (là où les sushis défilent sur un tapis roulant).
Nous avons également fait des fans de nous et nous sommes allés voir la plateforme 9 3/4 à la station King's Cross ! (On s'est un peu fait niaiser par le préposé de la station, mais c'est pas grave, on s'assume !)
De retour à l'appart, tout le monde est un peu fatigué, et on se dit que nous avons décrit suffisamment d'aventures pour aujourd'hui. Ne soyez pas avares de commentaires, c'est ce qui motive Fred et Julie à continuer d'écrire!
Simon & Marie (ne vous fiez pas à la signature plus bas)
Notre première journée a été peu mouvementée, car l'avion ne nous a pas laissé dormir plus d'une heure. Le 29 et le 30 se sont donc confondus dans nos têtes. Nous avons tout de même fait le tour de quelques rues de St. Albans et appris les rudiments du fonctionnement ici.
C'est le 1er mai que nos premières visites à Londres débutent. La cathédrale St. Paul nous charge 7.50 pounds si on veut la visiter au complet.
Notre hésitation était entre sortir tranquillement après avoir jeter un coup d'œil ou renverser toutes les tables en criant "sortez les marchands du Temple". La première option a été celle retenue. Nous avons déambuler dans les rues du quartier "City", entre le Millenium Bridge et la London Tower. L'architecture ose combiner l'ancien et l'actuel. Le résultat est une coexistence pacifique plutôt intéressante.
Un détail de l'œuf.
Le changement entre pluie et soleil est le plus difficile à acclimater.
2 mai: peu de visites de lieux "touristiques" comme tels, mais les touristes affluaient quand même. Nous sommes allés magasiner sur Oxford Street. Croyez-le ou non, j'ai eu ma première rage de magasinage. En fait, oui, la livre sterling est le double du dollar canadien. Mais, chose étonnante, j'ai pu acheter une paire de jeans à 8 pounds (16 dollars!). Pour 50 livres (100$), nous avons acheté 10 items (chandails chauds pour la plupart, surpris par la température). Aventures en métro et en autobus, on apprivoise nos transports, et on trouve les trucs pour avoir les meilleurs tarifs. C'est ce soir où, à quatre, on décide d'aller prendre un Fish 'n' Chips au Pub pas trop loin. Plus de Fish 'n' Chips restant, on prend autre chose autour d'une pinte de bière ou de cidre.
3 mai: avec Fred et Julie qui prennent une pause de leurs occupations universitaires habituelles, nous nous rendons à la Tate Modern. Musée d'art moderne de Londres, l'exposition actuelle a été un coup de chance: Duchamp, Man Ray et Picabia (le 3ème qu'on oublie tout le temps). Nous avons donc pu voir Fountain, le vrai urinoir qui a "fait changé l'art pour toujours" (traduction libre du "tagline" de l'expo). Quelques crèmes glacées plus tard, on allait observer le Tower Bridge, devant la tour de Londres comme telle (qui ressemble plus à une forteresse qu'une tour), pour prendre l'autobus jusqu'au Yo! Sushi (là où les sushis défilent sur un tapis roulant).
Nous avons également fait des fans de nous et nous sommes allés voir la plateforme 9 3/4 à la station King's Cross ! (On s'est un peu fait niaiser par le préposé de la station, mais c'est pas grave, on s'assume !)
De retour à l'appart, tout le monde est un peu fatigué, et on se dit que nous avons décrit suffisamment d'aventures pour aujourd'hui. Ne soyez pas avares de commentaires, c'est ce qui motive Fred et Julie à continuer d'écrire!
Simon & Marie (ne vous fiez pas à la signature plus bas)
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