samedi 12 janvier 2008

Shakespeare, analphabète?

Cette semaine, Julie a abandonné Fred (en plus de l'avoir forcé à revenir plus tôt... qui n'a pas eu la chance d'entendre sa complainte durant le temps des fêtes, d'ailleurs) pour aller à son congrès de la British Psychological Society dans la ville de Shakespeare: Stratford-Upon-Avon.

Ce fut intense, fatigant quand on est encore sur le jetlag et elle n'a que pu voir l'hôtel, mais c'était intéressant. Elle a même rencontré plein de gens puisqu'elle était steward (ça c'est ce que J-Nick rêve de faire, mais dans un avion).

C'était vraiment impressionnant parce que le niveau de la recherche est incomparable à ce qui se fait en psycho chez nous (et même aux états). La rigueur méthodologique des Anglais est dure à battre.

Parmi les rencontres qu'elle a faite, deux l'ont particulièrement marquée.

Olga, une flamboyante dame russe qui travaille comme coach et vit ici depuis 20 ans, a donné à Julie des plogues qui vont ravir Marie-Christine lorsqu'elle va venir nous voir. Elle lui a aussi révélé des secrets dont les Anglais refusent discuter... Shakespeare ne serait probablement pas Shakespeare, puisqu'il aurait n'aurait jamais rien écrit de sa vie. Lorsqu'il est mort, aucun écrit n'a été retrouvé chez lui...même pas une liste d'épicerie ;)

http://www.shakespeare-oxford.com/?p=35


La seconde rencontre, et non la moindre, fut Caroline Biron, une Québécoise pure laine qui fait son doc à Lancaster. Wow! Une autre ancienne de l'Université Laval (Laval rules!-dixit Fred). On va répéter ce qu'on a déjà dit: on est juste quelques millions au Québec, mais on est hot, on est hot!